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Clap de fin pour les Béliers de Kemper, encore battus par Rueil !
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Battus par Rueil pour la seconde fois à domicile, la saison des Béliers de Kemper s’est arrêtée brusquement. Ils n’ont pas su gérer un avantage de 20 points. Que de regrets !
NM1 (Plays-offs, 1/8e de finale, match n°3). Béliers de Kemper - Rueil AC : 83-86 (AP)
Les Béliers sont en vacances ! Battus pour la seconde fois à domicile par Rueil (83-86, a.p.), ils ont douché les espoirs de tout un club. Ils auraient pourtant mérité de faire des heures supplémentaires, pas pour entrevoir la Pro B, mais pour parfaire leur attaque sur zone (1-3-1) et pour mieux gérer leurs émotions. Que de questions ! Personne ne pressentait ce couac. Il fait mal, surtout à un groupe loué pour ses qualités humaines bien réelles.
Battus après une prolongation évidemment irrespirable, on se demande encore comment les Quimpérois ont perdu cette belle. On ne reprochera pas, cette fois, ce retard à l’allumage vécu lors du match 2. Les consignes du coach ont été entendues sans ambiguïté. Car question intensité, le maître mot de Thibault Wolicki, ses joueurs ont répondu présents. Quelle défense ! Pendant 20', les Rueillois ont été étouffés, privés de solutions, dans l’obligation de forcer chaque tir et chaque passe. Leurs nerfs ont même craqué. Trois fautes techniques sont tombées du ciel en 5'. Du vrai pain béni pour des Béliers voulant se faire pardonner.
L’absence d’Injai a pesé
Et puis, patatras ! Quoique nantis de 20 points d’avance (39-19), leur jeu s’est liquéfié face à la zone proposée par Nenad Papic, « un vrai coup de poker, car il fallait bien tenter quelque chose qu’on ne voit jamais en N1 ». Bien lui en a pris, les Quimpérois n’ont jamais su l’attaquer.
Et comme plusieurs fois cette saison, ils ont baissé la tête et n’ont su gérer leurs émotions. "Benoit Injai nous a manqué, a plaidé Joël Awich. Dans la difficulté, il sait toujours imposer le tempo adéquat". Ce qui a manqué à Antoine Dudit, ce dimanche. Certes, la faute technique récoltée par Bouloukouet à 2" de la fin du temps réglementaire, offrant aux Rueillois la prolongation, peut poser question, mais comme l’a reconnu, livide, Thibault Wolicki, "on ne peut pas s’arrêter là-dessus. L’absence de Benoit nous a fait mal. Nous aurions dû nous qualifier lors du match 2. C’est dur de jouer la montée". La future saison a déjà démarré, ce dimanche, pour le coach et les dirigeants. Pas simple !
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