Paul Meilhat : « Tout était bizarre sur cette course pour moi »

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Par Recueilli par Aline Merret

Paul Meilhat n’avait fait que dix jours de solitaire depuis six ans. Avant son avarie (souci au niveau du foil après un choc), ile skipper de « Biotherm » était bien dans le match. S’il y avait forcément un peu de frustration : « Ce format de course sur des parcours peu habituels, c’est hyper intéressant ».

Paul Meilhat a terliné quinzième après un début de course dans le match et un choc avec un ofni qui a endommagé son foil. Le skipper de Biotherm termine 15e.
Paul Meilhat a terliné quinzième après un début de course dans le match et un choc avec un ofni qui a endommagé son foil. Le skipper de Biotherm termine 15e. (Le Télégramme/Aline Merret)
The Transat CIC (Lorient - New York)

Vous étiez déjà venu jusqu’à New York en 2016 (4e), quel est le sentiment sur cette deuxième The Transat CIC ?

Je suis fatigué. C’est dur d’arriver loin là. Il y a le directeur de course qui dit : si vous mettez le moteur, vous ne dormez pas. Ben oui, mais il n’y avait pas de vent. Tout était bizarre sur cette course pour moi. L’arrivée était un peu particulière même s’il y avait plein de bateaux autour. Les deux derniers jours, je me suis repris un peu au jeu de la régate. J’ai échangé un peu avec Nicolas Lunven, qui avait aussi des déboires juste devant. Et puis ça poussait derrière donc je me suis dit que je n’allais pas me laisser doubler (rire) même si je ne pouvais pas aller.

Vous êtes allé chercher des ressources loin sur ces 10 jours 15 h 2’19’’?

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