Arriver à New York pour valider son Vendée Globe : Eric Bellion ne veut pas se « tromper d’objectif »

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Aline Merret

Par Aline Merret

Ils sont deux dans le même cas avec des bateaux neufs : Charlie Dalin et Eric Bellion doivent absolument atteindre New York s’ils veulent être au départ du Vendée Globe. « Je pars sur une course qualificative », annonçait le skipper de « Stand as One » sur les pontons lorientais.

Eric Bellion : "J’ai très très envie d’être en mer et de naviguer seul sur cette machine";
Eric Bellion : "J’ai très très envie d’être en mer et de naviguer seul sur cette machine"; (Photo Yves Quéré)
The Transat CIC (Lorient - New York)

Après l’avarie sur la Transat Jacques Vabre en fin d’année dernière, la première victoire c’est d’être sur The Transat CIC ?

J’ai dit à l’équipe qu’on pouvait être contents et fiers. Les gens ne se rendent pas compte de ce qu’on a vécu. On n’est pas un cas isolé. On est tous très nombreux à avoir vécu un vrai parcours du combattant pour être là. On est très heureux d’être là. On a cassé ce bateau neuf. On a vraiment douté d’être là pendant un moment. Quand tu as la casse qui arrive, tu te demandes si tu vas te relever. On voit toujours le plus catastrophique. On est en course depuis deux ou trois ans avec la construction du bateau. On a un état de fatigue important. On n’a pas des regards froids et on est passionnés. L’hiver a été long et laborieux sans le plaisir d’avoir réalisé une transat, le plaisir d’avoir navigué sur ce bateau.

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